femmeslave
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Vendredi 31 janvier 2014 à 13:09
Vendredi 31 janvier 2014 à 12:56
Samedi 14 Septembre, avait lieu comme chaque année la fête des vendanges au domaine de Chevalier, à Pessac-Léognan, dans la région bordelaise. Une célébration qui avait, pour ce cru 2013, une invitée très spéciale en la personne d'Adriana Karembeu. Amateur d'oenologie, la sublime femme slave ne s'est pas fait prier pour déguster de nombreux vins, avant d'enfiler la tenue traditionnelle de Grand Commandeur, parmi la dizaine d'autres nouveaux membres de la confrérie.
Un plaisir pour Adriana Karembeu, qui connaît déjà bien la région du Médoc où elle possède un spa. Un coin du Sud-Ouest qu'elle pourra, si ce n'est pas déjà fait, faire découvrir à son nouveau compagnon, André Ohanian, rencontré deux ans plus tôt à Marrakech, mais avec lequel elle apparaît depuis peu, puisqu'elle a attendu que son divorce soit prononcé avec Christian Karembeu, seulement il y a quelques mois. "André m'accompagne aux soirées où je suis invitée, c'est normal. Nous ne nous exhibons pas", affirmait-elle dans Paris Match. "D'ailleurs, quand je suis dans la maison de Marrakech, près du golf Al Maaden, je ne sors pas, je ne vais nulle part. Je veux rester discrète. Par respect pour ma vie d'avant. Par respect pour mon ex-mari...", ajoute la belle femme slave, qui en plus du vin, a donc une autre nouvelle passion...
Vendredi 31 janvier 2014 à 12:10
Les causes de la solitude des femmes russes sont très variées : outre les causes strictement démographiques (veuvage), on peut recenser des causes sociales, économiques, historiques, technologiques et idéologiques.
- En partie à cause de l’allongement de la durée des études, les jeunes femmes russes quittent de plus en plus tardivement le domicile familial (cocooning), et lorsque les femmes russes partent, elles ont tendance à vivre plus souvent seuls.
- La désertion des campagnes en Russie (surtout l’exode féminin) a isolé ceux et celles qui continuent d’y vivre, en limitant leurs possibilités de rencontres.
- Les effets « pervers »: les femmes russes qui ont aujourd’hui la quarantaine, avec la maîtrise de la contraception, ont souvent sacrifié une possible vie de couple sur l’autel de leur réussite sociale et professionnelle. À la fin de la trentaine, poussées par l’horloge biologique, ces femmes russes sont en proie à un désir d’enfant et se mettent en quête du père possible.